Daniel Riolo est revenu dans l'AfterFoot sur les incidents ayant eu lieu avant le match ASSE Angers. Extraits.
"Il ne faut pas confondre les nantais qui attaquent des bordelais en terrasse, les fights, les vols de bâches, les jets de proejectiles pendant le Classico etc. Toute cette violence stupide qui équivaut à de la petite délinquance. Il faut sortir ces mecs de l’univers football. Ils ne prennent ça que pour un défouloir.
L’autre violence, sans la cautionner, car la violence est la dernière des réponses du stade ultime de la civilisation, c’est autre chose.
Je suis partie intégrante de la vie du club. Et pas seulement de la vie sociale. Le club vit aussi car je représente quelque chose. Saint-Etienne en est l’exemple.
L’expression collective des supporters, la défense de valeurs, ça peut passer par le logo, par l’animation dans les stades pour moi ça reste capital.
Le cas extrême stéphanois : peut-être qu’ils sont allés trop loin mais leur volonté, leur exaspération à voir le club couler, mal géré… Même si l’action peut être mal faites car elle peut les amener encore plus bas qu’ils ne le sont.
Je distingue ces deux formes de violences."
