Loïc Perrin a répondu aux questions des journalistes et a notamment évoqué le prochain match face à Montpellier et la période de trêve internationale qui a permis aux Verts de travailler leurs automatismes... sans les internationaux et les nombreux blessés.
[penci_blockquote style="style-2" align="none" author="Loïc Perrin - Source : Asse.fr" text_size="20"]Malgré la neige qui a causé l’annulation de notre match amical, on a pu faire deux bonnes semaines de préparation. Ça nous a fait du bien car, quand on joue tous les trois jours, on n’a pas le temps de vraiment travailler. Ce qu’il y a de positif, c’est que l'enchaînement des matches permet à tout le monde de jouer. La série de neuf rencontres qui nous attend d'ici Noël va mobiliser tout le monde.Notre série a commencé à Nîmes où on a fait preuve de solidarité. L'état d'esprit et la réussite qu'on a connus ce jour-là nous ont aidé à reprendre confiance. On a également progressé ces dernières semaines. On a notamment franchi un cap sur le plan physique. Il faut encore qu'on s’améliore. C’est pour ça que ces deux dernières semaines ont été bénéfiques.
Il y a un système en place mais il n’est pas dit qu’on jouera dans ce dispositif jusqu'à la fin de la saison. De toute façon, tout dépend de ce qu’on fait du système du jeu de l'animation. Le coach doit trouver le meilleur système en fonction des joueurs disponibles. Personnellement, je n’ai pas de préférence.
Montpellier est une équipe solide à l’extérieur. Elle n’a pas trop changé d'ossature, ses joueurs ont l’habitude d'évoluer ensemble. C’est un plus. Pour nous, le challenge, c’est de garder notre invincibilité. Il faut profiter de ces bonnes périodes. Si on peut prendre encore plus d’écart avec nos concurrents, c’est bien.
Ma longévité ? Le temps passe vite. On m'a dit que j'allais rejoindre Robert Herbin dans l'histoire du club . Ce sont de grands personnages qui représentent l’AS Saint-Étienne.[/penci_blockquote]
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