Interrogé par Le Progrès, Bernard Caïazzo a évoqué la vente de l'ASSE et la recherche d'un investisseur. On y apprend notamment que le club stéphanois aurait pu passer sous pavillon américain il y a un an...

[penci_blockquote style="style-2" align="none" author="Bernard Caïazzo - Source : Le Progrès" text_size="20"]Il n’y a pas une semaine ou quelqu’un sérieux, ou pas, se renseigne. C’est simple, tout se passe dans un premier temps par avocat. On ne médiatise pas. Nos avocats sont chargés d’analyser le sérieux de nos interlocuteurs. On était très très proche d’aboutir il y a un an avec un groupe américain. Personne n’a jamais su le nom du groupe en raison de la règle de confidentialité. Au dernier moment, ça a buté sur un certain nombre de choses. Nous avons mis fin à la discussion. Et puis la vente de Saliba est venue financièrement régler beaucoup de problèmes. On n’est pas dans une recherche active. Si quelqu’un veut entrer au capital, un peu comme au Paris FC (le Barheïn à hauteur de 20 %), c’est bien. On cherche plus un investisseur minoritaire dans un premier temps pour voir comment ça se passe pendant quelques années. Mais on est obligé de penser à l’avenir. Nous ne sommes pas immortels avec Roland. Penser à l’avenir, c’est protéger l’institution.[/penci_blockquote]

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