Rémy Cabella, le meneur de jeu Stéphanois s'est exprimé en ce début d'après-midi avant le nouveau choc de demain contre Monaco, le champion en titre. Celui-ci est notamment revenu sur son retour à la compétition et sur la situation actuelle du club.

C'est un Rémy CABELLA, déterminé et heureux de faire son retour dans le groupe qui s'est exprimé durant la traditionnelle conférence de presse d'avant match, une rencontre cruciale pour les Verts.

"je pense que la doublette Sablé / Gasset se complète bien. Après, il faut leur laisser un peu de temps. Mais tout le monde tire dans le même sens. Après les mots, c'est bien mais maintenant il faut des actes. Le plus important, c'est le terrain et sur le terrain, ce n'est pas le coach mais les joueurs qui y sont et qui doivent donner le maximum. J'ai été très frustré de voir les mauvais résultats. Ils me donnaient encore plus envie de jouer mais je ne pouvais pas. J'ai envie de jouer, d'avancer, de gagner et que toute l'équipe suive.

Je comprends le mécontentement des supporters. Mais quoi qu'il arrive, je sais qu'ils supporteront toujours le club. A nous de faire en sorte qu'ils viennent au stade aussi pour les joueurs. Pour ça, on doit s'arracher. Certains joueurs n'ont peut-être pas compris ce qu'était Saint-Étienne. Comme Marseille, Saint-Etienne ce n'est pas n'importe quel club en France. Pour moi, la situation actuelle n'est pas normale"

Celui qui avait enchanté les supporters dès ses premiers matchs sous le maillot verts semble plus que motivé à l'idée de pouvoir aider l'équipe, sans surprise il devrait retrouver une place de titulaire demain face à Monaco. Son absence a coïncidé avec les mauvais résultats du club, ainsi nous espérons que son retour dans l'équipe apportera la fraîcheur et la créativité à un onze qui en a cruellement besoin.

Bien que seulement prêté, l'ancien Montpellierain semble avoir pris conscience de la situation du club, mais comme celui-ci la dit, après les mots les supporters attendent maintenant les actes, un bon résultat demain étant impératif.