Si tous les voyants sont au Vert sur le plan sportif à l'AS Saint-Étienne, un sujet bien plus lourd et potentiellement grave pouvait peser en interne. Une décision de justice vient d'être rendue à ce sujet. Ce qui pourrait contribuer à rendre l'atmosphère plus légère !

Le 14 septembre dernier, alors que l'AS Saint-Étienne s'apprête à défier le leader caennais après un début de saison compliqué (5 point en 5 matchs), Bernard Lions a publié dans le journal l'Équipe un papier relatant de multiples affaires et tensions au sein de la direction du club. Le journaliste, spécialiste de l'ASSE écrivait entre autre : "Quant à Rustem, il se trouve visé par une plainte pour harcèlement moral."

Ce samedi 28 octobre, Bernard Lions annonce dans un nouvel article que la justice, en l'occurence le procureur de la République de Saint-Étienne a classé sans suite la plainte pour harcèlement moral, à l'encontre du directeur général adjoint en charge des activités sportives. Cette plainte avait été déposée en décembre 2022 rapporte le journaliste qui donne de plus amples détails : "Cette plainte émanait de la part de Lionel Deschamps, ancien directeur d'exploitation de l'Etrat, le centre d'entraînement et de vie de l'ASSE, qui se trouvait sous les ordres de Rustem. Ce dernier avait déjà été mis hors de cause par son employeur en septembre 2022, à l'issue d'une longue enquête diligentée en interne, avant même le dépôt de la plainte au pénal".

Samuel Rustem a décidé de riposter de porter plainte à son tour pour dénonciation calomnieuse.