L'interminable feuilleton de la vente du club continue de faire couler beaucoup d'encre. Le Progrès fait un état des lieux de la situation.

La vente de l’ASSE est-elle au point mort ? C’est la toute la question qui se pose. Si nous pouvions attendre une accélération du dossier après la visite de la délégation américaine la semaine dernière, rien ne semble bouger.

Voilà 10 jours que les hommes de David Blitzer ont débarqué du côté de Geoffroy Guichard. De quoi visiter les installations et éplucher les finances de l’ASSE.

Depuis, plusieurs échos ont fait remonter un mauvaise accueil de Roland Romeyer… Une chose est sure la délégation a quitté les lieux.

La date du 23 juin était très attendue. Attendue car c’est le jour où le board stéphanois a appris la sentence de la LFP. La sanction est tombée. Les Verts et David Blitzer sont aujourd’hui fixés.

Problème, depuis jeudi, Le Progrès nous informe qu’aucune offre n’a été déposé par le milliardaire américain. Ce qui ne rassure pas en interne.

Le journal local précise que Roland Romeyer et Bernard Caiazzo ont fixés 3 conditions pour accepter l’offre d’un repreneur :

« En coulisses, les proches des actionnaires assurent que ces derniers veilleront au montant des sommes réinjectées dans le club, à la pertinence du projet sportif mais aussi au maintien du personnel en place. Est-ce que ces trois exigences sont des freins à l’arrivée de David Blitzer ? Celui-ci serait-il prêt à travailler avec le triumvirat Soucasse-Rustem-Perrin et le nouvel entraîneur Laurent Batlles ? Ou préfère-t-il débarquer dans le Forez avec son équipe et des hommes de confiance ?

Seul Blitzer a les réponses à ces questions d’importance. Unique certitude pour l’instant, les amoureux de l’ASSE vont donc devoir encore s’armer de patience avant de connaître l’issue de cet interminable feuilleton. »

Rien de rassurant en l’état. Affaire à suivre …