L'attaquant de Newcastle a accordé une interview à la chaîne Youtube "Carré". Dans l'entretien, le joueur de 26 ans revient sur son passage à l'ASSE et sur le rôle qu'ont joué ses parents dans son arrivée dans le Forez.
Saint-Max' remercie ses parents
Allan Saint-Maximin : « Je suis arrivé à Boulogne-Billancourt dans une équipe qui était au top. On avait pas mal d’individualités très intéressantes. J’étais avec Jean-Kévin Augustin et après il y a eu Marcus Thuram qui est arrivé plus tard. C’est deux amis à moi, que j’apprécie beaucoup. Donc j’ai vécu de très belles années à l’ACBB à Boulogne, donc les choses se sont très bien passées. Et j’ai eu la chance de passer des tests pour intégrer l’académie Bernard Diomède, j’ai vraiment passé des bons moments là-bas. Et ça m’a aidé à me préparer à ce que pouvait être un centre de formation. »
« Après ça je suis rentré à Clairefontaine, où j’ai pu voir un peu dans quel milieu j’avais mis les pieds. Et où j’ai eu la chance d’être vu par tous les plus gros clubs français, et après j’avais le choix d’aller un peu partout. Mais mes parents voulaient absolument que je signe à Saint-Étienne, parce que pour eux c’est un environnement qui était plus adapté pour ma progression. Et un environnement où j’allais pouvoir signer professionnel plus rapidement. Au final ils ont eu raison parce que j’ai signé mon contrat professionnel très très tôt et ma formation tout était très adapté. Et c’est ce qui était intéressant aussi, de voir comment j’allais réussir à rebondir maintenant que j’avais conscience de tout ce qu’il y avait autour du football. »
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Sa voiture sans permis face à la Lamborghini d'Aubame
Sa meilleure anecdote : « À Bastia j’avais une petite voiture sans permis. On appelait ma petite voiture « yaourt », « le pot de yaourt » ou une « canette ». C’était pareil à Saint-Étienne quand tu arrives au centre d’entrainement et que tu vois des Aubameyang avec une Lamborghini, une dernière Ferrari… Et que tu toi tu arrives dans une petite voiture qui fait du bruit, on s’est pas mal moqué de moi, c’est une bonne petite anecdote. »
