Olivier Dall’Oglio s’est présenté en conférence de presse avant de disputer la phase aller des barrages contre le FC Metz. L’ASSE va disputer ses deux dernières rencontres de la saison. Extraits.

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Mikautadze sera surveillé

Olivier Dall’Oglio (Coach ASSE) : « Georges Mikautadze ? Ça pèse beaucoup sur ce garçon-là, qui est un garçon de grande qualité. Il est chassé par des par des grosses équipes, ce n’est pas le hasard. Il est encore jeune. Ces derniers mois, il a été décisif. C’est une grosse arme. Techniquement, il est assez à l’aise. Il va vite aussi. Il a beaucoup de sang-froid devant le but. Il est très précis. Ça en fait un joueur rare, obligatoirement, puisque c’est des garçons qui sont capables de mettre des buts à tout moment et contre n’importe quelle équipe. Il y a toujours un plan contre l’adversaire et surtout contre les bons attaquants. Il n’y a pas un plan, on ne va pas faire un marquage individuel tout terrain sur lui. Mais on l’a étudié. Mes défenseurs le connaissent bien déjà. »

L’ASSE devra se méfier des contres

Olivier Dall’Oglio (Coach ASSE) :  » Metz est une équipe athlétique qui va très vite. Des garçons qui vont extrêmement vite, notamment sur les côtés. Que ce soit les latéraux, ou les excentrés. Ils jouent la contre-attaque à merveille. Ils exploitent toutes les erreurs de l’adversaire. »

Les Verts face à une équpe de L1

Olivier Dall’Oglio (Coach ASSE) : « La différence entre la L1 et la L2 ? Oui, il y a une différence. Metz a joué toute la saison en Ligue 1. Obligatoirement, ils ont des matchs compliqués tous les week-ends. Je ne dis pas que nous c’est plus simple, mais c’est différent. En Ligue 1, il y a beaucoup plus d’efficacité, il y a plus de techniques, il y a plus de maîtrise. Il y a une différence entre les deux divisions. Les messins sont plus habitués à une certaine vitesse. Avec le ballon, il y a quand même des différences. […]

Puis tactiquement, le but est que chaque joueur connaisse son rôle. Même les garçons qui vont rentrer doivent connaître leur rôle. C’est une mise en place sur le terrain, c’est des ajustements, c’est de la communication entre eux. Nous, on est staff, on est à côté, on est au bord. Quand on a donné certaines directives, il y a des choix aussi qui vont arriver et qui vont se faire entre eux. On a mis les relations milieu, attaque. Il y a plein de petits détails qui vont faire la différence. Tout ça, c’est de l’intelligence, c’est de la communication et c’est de la tactique.«