Arrivé cet été en provenance d'Autriche, Augustine Boakye revient de blessure et commence à obtenir du temps de jeu. Après des débuts prometteurs, le ghanéen va devoir confirmer les belles promesses affichées. Comme relevé par Poteaux-Carrés, le néo-stéphanois s'est longuement exprimé sur le site FlashScore. Extraits.
Augustine Boakye (ASSE) : « Sulley Muntari était mon idole quand j'étais plus jeune parce que ma mère l'aimait beaucoup. Je l'ai regardé et je suis également tombé amoureux de lui. »
Boakye bien à Sainté
« Passer de la Premier League ghanéenne à la Ligue 1 en quelques mois seulement n'a pas été très rapide pour moi, mais cela s'est fait en douceur. Quand je suis arrivé en Europe, au début, j'avais des difficultés avec la langue car je ne parle pas allemand et tout le monde ne parle pas anglais en Autriche. Je me sens plus à l’aise en France parce que je parle un peu français. C’est bien à Saint-Étienne. Je me suis fait de nouveaux amis depuis mon arrivée, car c’est plus facile quand on parle la langue. »
« La plupart du temps, je regarde Samed et Seidu (ses compatriotes et amis) jouer en championnat. »
Le nouveau meneur de l'ASSE ?
Augustine Boakye (ASSE) « Je pense que le plus important maintenant est de maintenir l’équipe en Ligue 1 cette saison. » Son ambition est claire : « Continuer à jouer en Ligue 1 est mon objectif personnel et je dois juste continuer à travailler dur. Je ne ressens pas la pression de faire partie de l'équipe nationale parce que tout le monde mérite d'en faire partie. La convocation pourrait arriver aujourd'hui, ou demain, je ne sais pas quand mais quand elle arrivera, ce sera bien et je serai prêt. Ma priorité est de continuer à bien jouer pour Saint-Etienne et de réaliser de grandes choses avec eux. Chaque fois que je joue, je pense qu'au bout du compte, je dois rendre ma famille, mes amis et tous ceux qui me regardent fiers. »
« Je suis un numéro 10 qui aime aider. J'aime encore plus aider mon attaquant parce que je pense que lorsque l'attaquant marque plus, cela donne plus de confiance à l'équipe. Je vois l'attaquant comme l'homme principal et donc quand il ne marque pas et qu'il est frustré, cela affecte toute l'équipe. »