28 janvier 2023, l'ASSE conclut un deal avec Le Puy pour y envoyer un second jeune de son centre de formation en prêt. Après Rivera, Abdoulaye Bakayoko portera le maillot ciel et blanc en national 1. Seulement le mariage n'aura jamais eu lieu pire, la situation devient même très délicate.
Mis à l'écart
Abdoulaye Bakayoko a très rapidement provoqué la colère de son entraîneur qui a décidé de s'en passer après une mi-temps en N1 : « Il faut respecter le club et le groupe. Je demande beaucoup aux joueurs, je suis très exigeant avec eux et s’il y en a un qui ne rentre pas là-dedans, je préfère ne pas travailler avec.
C’est du gâchis. Je sais que ces situations sont difficiles. Mais, par exemple, Max (Rivera) l’a vécue, il est arrivé avec plein d’enthousiasme et la volonté de faire des choses. S’il n’avait pas envie de venir au Puy, il valait mieux dire non que subir les choses. On est inférieur à Saint-Étienne mais on est respectable dans notre projet. Les joueurs du vestiaire sont respectables, le staff et le président aussi. »
Manque de professionnalisme ?
Abdoulaye Bakayoko aurait, toujours selon l'Eveil, oublié ses chaussures au premier entraînement et eu du retard au suivant.
Ce qui a surtout poussé le coach ponot à prendre une décision radicale car "il était convoqué avec l'équipe réserve, mais il n'est pas venu", a indiqué Roland Vieira en conférence de presse en février dernier.
Fin de saison prématurée ?
Le 18 mars dernier, alors aligné avec la réserve du Puy évoluant en R1 contre O. Salaise Rhodia, Abdoulaye Bakayoko a été expulsé. En effet, suite à une grosse faute sur l'un de ses coéquipiers, il a écopé de sept matchs de suspension selon les informations du Progrès. Une échauffourée s'en serait suivie ou plusieurs joueurs ont été expulsés dont lui et le joueur qui a subi la faute. De ce fait, il ne sera disponible que pour la dernière rencontre de championnat.
Un prêt qui s'avère être absolument pas bénéfique pour le joueur formé au club...