Match couperet pour l’ASSE et Rodez. L’AS Saint-Etienne reçoit le RAF ce vendredi soir (20 h30). Ibrahim Sissoko s’est présenté en conférence de presse ce jeudi midi.
« Moi, mon match est vendredi »
Ibrahim Sissoko (attaquant de l’ASSE) : » Rodez – PFC ? Oui, j’ai regardé. Moi, mon match est vendredi, tout simplement. Rodez, fort mentalement ? Comme nous, on est aussi très fort. On a fait une grosse série de victoires. Nous, si on fait le boulot de notre côté, peu importe ce qui se présente en face. On s’est bien préparé. On a vu que c’était Rodez qu’on allait affronter. On se prépare de notre façon, de notre côté, tranquillement. Et on sera prêts pour vendredi. »
Ibrahim Sissoko agacé ?
Ibrahim Sissoko (attaquant de l’ASSE) : « Rodez chat noir ? Franchement, c’est vous qui le prenez en compte. Parce que sur les derniers matchs de la dernière saison, moi, je n’y étais pas, il y en a plusieurs qui n’y étaient pas. Ce n’était pas la même équipe. Ce n’était pas le même coach. Cette année, la série continue, mais ça ne veut rien dire. Donc franchement, il n’y a rien. Un ascendant psychologique ? Pas du tout. C’est vous qui la mettez.
Les commentaires négatifs ? Chacun le prend comme il veut. Après, c’est vous qui mettez la barre haute ou basse. Nous, on a fait notre travail. Ce qu’on a fait, on était content de ce qu’on a fait. Maintenant, ce n’était pas fini. On avait des objectifs. Les objectifs sont encore accessibles. Donc, on verra. On fera les comptes à la fin de saison, tranquillement. »
L’ASSE doit les mettre au fond
Ibrahim Sissoko (attaquant de l’ASSE) : « Moins bien, ces derniers matchs ? Moins bien pour qui ? Il y a moins de passes, mais on voit que sur les stats, on a toujours autant d’occasions. On ne les met pas au fond. Mais déjà, il faut se les créer. Ce n’est pas comme on aurait voulu. Mais pour le moment, on s’accroche et on verra à la fin.
Fatigué ? Moi ? Je suis fatigué personnellement ? Ou le groupe ? Je ne pense pas. Parce que si on regarde les statistiques, les courses, elles sont là. L’intensité, elle est là. On ne fait pas moins d’efforts qu’avant.
Il faut même être à 200 %. On sait que c’est sur un match. Tout est à jouer. Donc, on va essayer de donner le plus possible et on verra ce qui se passera. Avec ce qu’on a mis en place, on verra. Tout est possible. Une semaine différente ? Non, on a juste essayé de régler les manques qu’on avait, de regarder les erreurs qu’on a faites pour pouvoir ne pas les refaire. Et sinon, non, c’était une semaine assez classique. Un travail sur les tirs au but ? Vous verrez, si on y va. Ce n’est pas un secret, non. Le PFC les avait travaillé ? C’est bien pour eux. Ok, je ne suis pas au PFC moi. »
