Alors qu'il se retrouve sur la sellette à l'AS Saint-Etienne, un long dossier de VestiairesMag revient sur le parcours de Claude Puel. L'occasion pour le coach d'évoquer la fin de ses aventures dans ses précédents club. Extraits.
“A certains moments, j’ai récolté les fruits de mon travail, à d’autres ce sont mes successeurs qui en ont bénéficié”, reconnaît-il, sans aigreur.
Une chose est sûre, il a souvent eu cette chance de pouvoir rester suffisamment longtemps pour imposer sa patte, lorsque la durée de vie moyenne d’un entraîneur de Ligue 1 ne dépasse pas 16 mois.
“Ce n’est pas de la chance. Le temps, je le prends. Bien sûr que là où j’ai entraîné, mes dirigeants ont déjà dû se demander à certains moments s’ils devaient appuyer sur le bouton ou pas (il n’a jamais été remercié en cours de saison, en L1, ndlr). Mais je m’en fout! Dans ma tête, je suis libre. S’ils ne l’ont jamais fait (excepté à Leicester, ndlr), c’est que la force qui m’animait, mon assurance, leur donnaient quelque part certaines garanties.”
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