Je prends ma plume pour soumettre ce modeste billet d'humeur à votre attention. Je voudrais parler ici des valeurs qui ont fait la popularité de l'Asse à travers l'hexagone et qui me semblent aujourd'hui être tombées en désuétude, surtout quand on pense à la piètre prestation de mercredi face aux Parisiano-Qataris. Perrin est le seul a avoir une attitude digne de ce nom en montrant son énervement à la fin de ce non-match. En effet on ne peut pas se réclamer l'héritier de ses illustres prédécesseurs lorsqu'on aborde une rencontre d'une telle importance d'une façon si timorée. On ne peut aller au Parc en victime expiatoire, sinon ce n'est même pas la peine d'y aller. Ensuite, quand on a une occasion de but aussi immanquable que celle qui s'est offerte à Erding, on ne peut pas la rater. A 2 a 1 le match était différent. Ça a été le tournant de la demi-finale, à coup sur.
Pour finir je dirai que les Verts doivent redevenir eux-mêmes en y mettant de la volonté et de l'abnégation, en n'ayant peur de personne et en jouant les coups à fond tout en limitant les déchets techniques. Allez les Verts, les vrais!