[penci_blockquote style="style-2" align="none" author="Arnaud Nordin - Source : Le Progrès" text_size="20"]A Sainté, j’ai réussi à monter les échelons. Je suis un peu un enfant d’ici. Après tout ce que j’ai vécu depuis les U17, rentrer à Geoffroy-Guichard, avec les supporters et marquer pour mon premier match en pro contre Lille… C’était magique. Cela reste mon plus beau moment ici. Est-ce que je me sens plus Stéphanois que Parisien aujourd’hui ? On va dire moitié-moitié. Je suis né à Paris, j’ai été à l’INF Clairefontaine puis à 15 ans, je suis arrivé à Saint-Étienne. J’ai tout connu ici : l’école, le bac, mon permis, mes premiers matches… Saint-Etienne, c’est une ville de football, tout le monde vit pour ça. Je reçois plein de messages d’encouragements de supporters. Se dire qu’on joue avec toute une ville derrière nous, c’est magique. Cela fait rêver. On est dans une situation un peu compliquée. L’objectif, c’est de sauver le club. Il faut que je sois plus performant, que j’aie plus de stats. Je dois progresser dans la régularité. Au fil des années, j’ai mûri dans le jeu. Je réfléchis un peu plus même si je dois le faire encore davantage. Je vais continuer de bosser à Saint-Étienne. Disputer les JO, c'est un rêve.[/penci_blockquote]
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