Il n'est pas nouveau d'affirmer que la réputation de Jacques Pauly n'est pas des plus glorieuses lorsqu'il s'agit d'évoquer ses projets de reprise. L'un d'eux l'a amené du côté du club de basket de Mirande en 1997. Alain Jardel, à l'origine de la création du club et entraîneur à l'époque se souvient dans des propos rapportés par Le Progrès :
[penci_blockquote style="style-2" align="none" author="Alain Jardel - Source : Le Progrès" text_size="20"]Quand le basket a basculé dans le professionnalisme, avec deux clubs de standing qui ont pratiqué de la surenchère, il fallait franchir un cap économique et nous n’avons pas été en mesure de la faire. Les nombreux clubs français qui vivent en majorité des subventions, ont besoin de toujours plus. Le magicien Jacques Pauly vient alors troubler les cartes. Il promet monts et merveilles et surtout de l’oseille à la pelle. J’avais averti notre président de ne pas prêter attention à ce personnage qui me paraissait habité. Mais comme il venait de tourner le talon aux élus locaux, il s’est jeté dans les bras de cet inconnu. Notre président a été marabouté. Vous allez rire, même si à l’époque cela m’a mis dans une colère terrible, la prise de contact entre Pérès et Pauly s’est déroulée un premier avril. Pour un mauvais présage… C’était du délire. On avait seulement besoin de 30 000 euros pour combler le déficit et boucler la saison. Au final, on a eu le miroir aux alouettes et zéro sou. Jacques Pauly qui annonçait 800 000 euros a été incapable d’honorer une traite de 30 000 euros. L’imposteur s’est volatilisé dans la nature. Notre président a dû payer les joueurs sur ses propres deniers et moi j’ai contracté un emprunt également. Je considérais que c’était naturel, une preuve d’amour envers mon club que j’avais fondé. Ce Jacques Pauly a assassiné le travail de 22 années.[/penci_blockquote]
La preuve, s'il en fallait une nouvelle, que ce projet est tout sauf sérieux et digne d'intérêt...
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