Les propriétaires de l'ASSE pensent toujours à faire rentrer un actionnaire minoritaire sans le capital du club. Toutefois, les exigences ont été revues à la baisse...

Après la vraie-fausse vente de l'ASSE à PEAK6 en mai 2018, Bernard Caïazzo et Roland Romeyer avaient indiqué que l'ASSE n'étaient plus forcément à vendre, tout en restant à l'écoute d'offres intéressantes... Et puis la stratégie a évolué avec la recherche d'un actionnaire minoritaire qui pourrait entrer dans le capital du club et, à terme, en devenir le propriétaire. Une stratégie qui nous a toujours un peu interpelé dans la mesure où nous estimons qu'un investisseur n'en est par définition pas un lorsque son argent ne lui rapporte rien ou a peu de chance de le faire... Sous l'ère Gasset, avec des joueurs expérimentés mais déjà "vieux", le trading joueurs était impossible à mettre en place. Depuis, Claude Puel est arrivé et l'ASSE a prouvé que de bonnes ventes restaient possibles pour des jeunes issus du centre. De quoi attirer ce fameux actionnaire minoritaire ?A priori non. La crise économique qui frappe la planète est passée par là, et l'ASSE reste un club dont les actifs représentent peu de valeur. Romain Molina, journaliste d'investigation dans le football, croit savoir que les présidents on revu leurs prétentions à la baisse dans ce contexte et accepterait l'arrivée d'u actionnaire moyennant une somme plus faible que celle attendue initialement...

 

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