Satisfait de la victoire de ses hommes, Jean-Louis Gasset va pouvoir préparer la rencontre face au PSG sereinement. Tout n'a pas été parfait, mais les stéphanois montent en puissance comme Youssef Aït-Bennasser ou Mathieu Debuchy. Quant au VAR, il fait contre mauvaise fortune bon coeur...

[penci_blockquote style="style-2" align="none" author="Jean-Louis Gasset - Source : Asse.fr" text_size="20"][/penci_blockquote]C’est une grande satisfaction. Bien sûr, on a préféré la première période à la seconde. Mais, même à Rennes, on avait été bons lors des 45 premières minutes. Ce soir, on a eu de l’efficacité et on aurait pu alourdir le score avant la pause. On a vu ensuite que le 2-0 était limite si on prenait un but à 20 minutes de la fin. Quand on domine comme ça, il faut savoir plier le match.
On a eu une ou deux balles de contre qu’on aurait dû mieux maîtriser en deuxième mi-temps. Nous, on aime bien avoir le ballon. En deuxième mi-temps, le jeu était haché, ce n’était pas beau à voir. Je pense que le physique compte car on a joué dimanche. Ensuite, les joueurs qui sont arrivés au mercato ont besoin de temps de jeu. (Youssef) Aït Bennasser n’a pas encore 90 minutes dans les jambes. (Mathieu) Debuchy devait jouer un peu pour débuter contre Paris. Il y a quelques réglages physiques qui restent à faire.
En première période, j’ai trouvé que l’équipe jouait bien. Après, il y a eu beaucoup plus de faits de match. On était fébriles car on n’avait pas gagné depuis un mois. On a voulu conserver le résultat et on a trop reculé, manqué de maîtrise technique. On a juste contré alors qu’on aime bien maîtriser le jeu. Comme en première.
On a perdu des ballons faciles. Mais ça, c’est le physique. Le terrain était aussi un peu difficile pour jouer en une touche de balle. Il y aussi eu un peu de fébrilité. Dans une période faste, vous tentez des choses. Là, c’était un peu forcé car on ne voulait pas se faire égaliser.
Sur les deux actions, l’arbitre siffle. Il revient ensuite sur sa décision. On ne peut pas parler toutes les semaines du VAR. Si, après avoir revu les images, l’arbitre change d’avis, on lui fait confiance.