L’ancien coach des U19 de l’ASSE, aujourd’hui directeur du centre de formation du SCO d’Angers s’est livré dans les colonnes du Progrès. Extraits.
Quand il y a de la qualité, on accompagne les jeunes dans leur développement, et surtout on lui fait toucher le haut niveau, ce que, demain, va lui demander son métier en termes d’exigence. Il faut qu’ils prennent conscience de leur potentiel et ne pas perdre de vue les attentes du coach au-dessus. Aujourd’hui, aussi, il y a beaucoup de jeunes avec des familles monoparentales où le football représente le loto, sauf qu’il n’y a pas beaucoup d’élus. 2 % de réussite donc qu’est-ce qu’on propose aux 98 autres
La dimension psychologique a de l’importance mais aussi de juger à quel moment ils sont prêts. Il faut faire très attention à ne pas les bousiller sur le plan athlétique, sauf qu’aujourd’hui la formation n’a plus trop le temps, sportivement mais aussi vis-à-vis des entourages qui s’impatientent. »
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